Conclusion

Finalement, nous pouvons déduire de ce qui précède que c'est la portance, force appliquée par l'air sur ses ailes, qui permet à l'oiseau de voler. Elle compense en grande partie son poids, l'empêchant ainsi de chuter comme une pierre. En outre, son anatomie (notamment ses muscles développés et ses plumes) lui confère des caractéristiques optimales pour le vol plané. Il convient de noter que certains oiseaux planent moins efficacement que d'autres, du fait de leurs ailes courtes ou de leur poids.

Remerciements

Nous remercions Mlle Cauly et Mme Muller qui nous ont grandement aidés lorsque nous avions rencontré des problèmes, ainsi que les préparateurs de matériel, qui nous ont permis gracieusement d'expérimenter.

Bibliographie